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Interview "Mom-to-Be" : Ithaa

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Je me rappelle bien des premières photos qu'Ithaa a posté de son ventre à peine arrondi. Ce jour-là, je m'étais dit que si un jour j'avais moi aussi la chance d'être enceinte, je voudrais avoir son sens du style. Évidemment, quand ça a été mon tour, je suis retournée compulser sa catégorie "Chic et Enceinte" et je me suis dit qu'Ithaa serait parfaite pour mes interviews de "Mom-to-be" !

Pour toi, un ventre de femme enceinte est à sublimer ou à cacher ?  
C'est triste de cacher son ventre arrondi non ? Bien sûr, au premier trimestre c'était indispensable, j'attendais le bon moment pour l'annoncer à tout le monde et je tenais à cacher ce petit bidon qui veut s'incruster partout. Je ne cherchais pas spécialement à le mettre au premier plan mais je ne le cachais pas non plus. Il était là et j'étais toute fière évidemment ! Le second trimestre est celui où on se sent vraiment épanouie et la plus belle. C'est là où on s'éclate et où on aime le plus son bidon bien arrondi.
www.ithaa.fr
www.ithaa.fr

Quelle est la chose que tu n'as jamais osé porter enceinte alors que tu trouvais ça super joli sur les autres ?
Je ne m'interdisais rien. Mais j'ai un peu oublié les robes moulantes en fin de grossesse parce que j'avais pris 23 kilos et j'avais l'impression que tout logeait au niveau du dos et des fesses.

Tu as ouvert un second blog dédié à tes enfants, pourquoi avoir décidé de ne pas publier ces photos-là sur ton blog Ithaa.fr ?  
Je ne voulais pas que www.ithaa.fr se transforme en un blog maman. J'ai beaucoup de lectrices qui ne sont pas encore maman et je n'avais pas envie de les envahir avec mon petit monde de bisounours.
Dès qu'on devient maman, on oublie à quel point c'est pénible de passer son temps à entendre parler de bébé. J'avais surtout besoin de créer un espace plus intime ailleurs. Un espace consacré à la vie de famille et où on ne se pose pas de question existentielle sur la dernière paire de boots cloutée!

www.ithaa.fr

Quels sont les bons plans que tu donnerais à une future maman ?

- Dévaliser la boutique c&a pour les bodies des bébés en coton biologique. Ils sont increvables et tout doux. 
- Je suis une fan inconditionnelle de la marque Baby gap, c'est là ou on trouve le meilleur rapport qualité/prix. Les vêtements sont increvables malgré les passages quotidiens en machine.
- J'achète mes vêtements de naissance chez Petit bateau parce qu'ils sont précieux.
- Leboncoin pour dénicher des petits meubles vintages comme la table d'écolier de mon fils et la petite table de chevet de ma fille.

Mes petites boutiques

L'atelier de Pablo une petite caverne d'Ali baba où on trouve du vintage, du neuf et un peu de tout pour les mamans passionnées de déco et d'univers enfantin.
34 rue hauteville 75010 paris

Je fouine souvent chez Bonton ou sur les sites monjolishop, my little day et mysweetboutique pour mettre la main sur des petits objets de décoration ou pour une fête d'anniversaire réussie.

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Beauté : mon corps après la grossesse + concours

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Je me souviens très bien de cette pensée eue sous la douche, la première, après mon accouchement. J'étais encore dans le brouillard, comme l'on peut l'être après une péridurale et un effort physique de la sorte. Mais dans un éclair de lucidité, je me suis dit qu'il était tant de reconnaître mon corps à sa juste valeur. Ce corps-là qui avait été capable de faire grandir ce petit être, ce corps-là qui était capable de tenir le coup malgré la douleur et enfin, ce corps-là qui venait de se relever quelques heures après avoir souffert

Et forte de cette révélation, j'ai décidé qu'il était temps de porter un regard bienveillant sur mon corps. Oui, il y a des stries rouges sur mon ventre, oui, mon corps ne sera jamais de ceux que l'on célèbre dans les pages de magazine. Mais c'est pas grave et surtout j'essaye de ne plus focaliser là-dessus.

Ceci ne veut pas dire que je ne vais plus prendre soin de moi ! Bien au contraire ! Après avoir accouché, je continuais à utiliser les crèmes anti-vergetures que je mettais jusque-là. Mais, je n'ai pas réussi à m'y abstenir comme je le faisais auparavant. Peut-être parce que mon bébé était né et que rien n'était pareil. Toujours est-il que la proposition de Mixa est tombée à pic. La marque de cosmétique me proposait de tester leur nouvelle gamme de soins post-grossesse. 

J'ai donc reçu un Soin Intensif vergetures et un Lait Corps Raffermissant. Comme j'ai envie de bien faire les choses, je donnerai mon avis un peu plus poussé sur les produits dans 15 jours. Pour le moment, voici ce que j'en pense.


ODEUR : ça sent boooon ! Une vraie odeur rassurante de bébé ! Ca me rappelle une odeur mais je n'arrive plus à la reconnaitre ... Grrrr (peut-être que c'est l'odeur du beurre de karité ?)

PÉNÉTRATION : la crème pénètre très vite et ne colle pas. 

MES VERGETURES : Pour l'instant, elles sont toujours violacées et font 7 cm de diamètre sur l'abdomen.



APPLICATION : rien de plus simple ! Il suffit d’appliquer une noisette de produit par mouvement circulaire sur le ventre, la poitrine, les hanches et les cuisses. En gros, là où vous avez des vergetures.
 

Ce que dit Mixa :


"Mixa crée un Soin Intensif Vergetures Compatible Allaitement qui favorise la réduction des vergetures [...], qui aide à raffermir la peau et réduit visiblement les vergetures. Le Soin est enrichi en beurre de karité et glycérine pour apaiser immédiatement les sensations de tiraillements."
Concernant la composition du produit, Mixa garantit un soin avec une formule hypoallergénique, sans paraben et sans colorant. 

Mon avis : A 4 jours d'utilisation, je peux dire qu'effectivement, le soin hydrate bien et les tiraillements de peau, dont je suis habituellement sujette, ont disparu.



ODEUR : c'est la même que le soin intensif ! 

PÉNÉTRATION :idem, la crème rentre rapidement dans la peau. Il reste un petit film mais il me semble que c'est à cause de l'effet tenseur. 

MA PEAU EST-ELLE RAFFERMIE ? ma peau ne ressemble pas à de la pâte à modeler, du coup, il m'est difficile de donner un réel avis sur le lait raffermissant.



APPLICATION : Mixa recommande d’utiliser le produit de la manière suivante pour une efficacité optimale :
1/ Faire chauffer la produit dans les mains. 2/ Lisser le produit des chevilles vers les cuisses (dans le sens de la circulation sanguine). 3/ Lisser à partir des poignets vers les épaules. 4/ Appliquer sur le dos. 5/ Terminer par le buste et le bas des reins où se logent les fameuses poignées d’amour.
 

Ce que dit Mixa :


"Ce soin du corps aide à raffermir, tonifier et améliorer l'élasticité de la peau"

Mon avis : on voit ça dans 15 jours
 

Concours :

Si vous souhaitez vous-aussi tester cette nouvelle gamme de soin, rien de plus simple ! Laissez-moi un commentaire sous cet article en m'expliquant pourquoi vous voulez remporter ce lot de soin Mixa ! La gagnante sera tirée au sort le 18 février 2014 !
Bonne chance à toutes !


* Article écrit dans le cadre d'un partenariat avec la marque.


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La petite chemise blanche parfaite

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Si certaines sont en quête perpétuelle d'une petite robe noire, mes recherches sont toutes tournées vers LA chemise blanche parfaite. Celle qui va aussi bien avec un jean boyfriend qu'avec une jupe crayon... Bref, vous savez, celle que je cherchais déjà dans cet article !

Mais, il semblerait que ma soif de Petite-Chemise-Blanche-Parfaite soit bientôt étanchée. Oui, oui, je crois que j'ai trouvé la marque et les modèles absolus (Rien que ça, mais que voulez-vous, je suis emballée!)

Allez, je dévoile le nom de cette petite pépite : CALIFORNIA TAILOR ! Voilà, tout est dit rien que dans le nom : le cool californien associé au savoir-faire anglais ( littéralement, c'est pas ça mais lisez la suite et vous verrez que ma traduction n'est pas si fantaisiste que ça ! ;) )

California Tailor, c'est l'aventure d'une Anglaise qui pose un jour ses bagages en Californie et tombe sous le charme de cette région où il fait toujours beau... Sa marque est la synthèse de SAVILE ROW et VENICE BEACH.



N'hésitez pas à me dire ce que vous en pensez ! Et si vous avez une petite marque bien sympa à partager, n'oubliez pas les commentaires !

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Girl crush 5 : Lupita Nyong'o

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Ça faisait longtemps que je n'avais pas fait un article Girl Crush ! Et pourtant, avec la saison des remises de prix de toutes sortes, ce n'est pas les toilettes de tapis rouge qui manquent ! En parlant de tapis rouge, une jeune actrice m'a tapé dans l’œil. Il s'agit de Lupita Nyong'o. Ses choix stylistiques plutôt radicaux, recherchés en ont vite fait la "it-girl" du moment.
Ce que j'aime chez elle : sa beauté très "healthy", sa coiffure tellement moderne, sa "forte" féminité, sa tendance à porter des tenues mono-chromatique et risquées et très loin de l'image "romantique" de la jeune actrice fraichement découverte par Hollywood.
En espérant qu'elle fasse long feu sous les projecteurs !


Et vous, qui est votre "petite nouvelle" favorite ?

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Les conseils beauté de Joëlle Ciocco à prix tout doux + résultat du concours

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Photos au réveil !
La peau... Mon ennemie préférée. J'aurais tendance à ne retenir que le négatif : elle est sèche (eczéma), elle marque beaucoup, elle cicatrice pas bien... Bref, je noircis le tableau ! Mais toujours dans une démarche de lâcher-prise et de mieux-être, j'ai décidé de changer mes habitudes de soin de la peau du visage en particulier. Lili du blog Ma Récréation vantait les mérites de Joëlle Ciocco, épidermologue. Comme toujours avec les articles de Lili, elle m'a donné envie de soumettre ma peau au regard de cette professionnelle. Mais n'habitant pas Paris et surtout n'ayant pas le budget nécessaire pour la voir en consultation, je me suis tournée vers les indications universelles et toutes simples qu'elle préconise.
Dans un article de Psychologie Magazine, elle recommandait de suivre chaque soir la "routine-soin" suivante :

1- utiliser un lait démaquillant de bonne qualité. (j'utilise le lait Avène)
2- prendre son temps pour se nettoyer le visage. 5 bonnes minutes au bas mot.
3- se nettoyer le visage avec le lait du bout des doigts et non pas avec du coton.
4- passer une 2° fois en faisant cette fois-ci des massages autour des yeux, le long des ailes du nez et finir en remontant de la mâchoire aux pommettes. Cette opération permet à l'épiderme de s'oxygéner et l'aide à se régénérer.
5- Se pshitter de l'eau florale pour finir (eau de rose ancienne Sanoflore pour ma part). Le coton doit rester propre.

Cela fait 17 jours que je suis cette recommandation et je suis très contente de l'état de la peau de mon visage. Ma peau est comme repulpée, le teint plus unifié et j'ai moins de petits boutons (ou alors, quand les vilains sont de sortie, ils partent plus vite). Est-ce dû à ce nouveau protocole ? Je ne sais pas. Sûrement. En tout cas, j'en suis ravie pour l'instant.

J'utilise une fois tous les 15 jours une brosse nettoyante de type Clarisonic. (en beaucoup moins chère car je l'ai trouvé pour 15€ à Monoprix). J'évite de l'utiliser trop souvent car je ne voudrais pas assécher ou fragiliser ma peau.

Lundi, je tente de rajouter une étape : boire mon litre d'eau par jour. Ça a l'air simple sur le papier mais je n'ai jamais réussi à m'y tenir ! Et qui sait, je vais peut-être passer aux Granions de sélénium, de manganèse et de cuivre !

Je vous tiens au courant !

Voici les 2 gagnantes du concours MIXA : Marine L et Sophie C. ! Regardez dans votre boîte mail les filles !
Merci aux autres d'avoir participé et très vite un autre concours ouvertes à tou(te)s mais sur Facebook uniquement cette fois-ci !

Mes découvertes de la semaine #2

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J'avais un peu laissé tomber cette nouvelle catégorie... On va dire aujourd'hui que c'est un peu "de la triche". Mes découvertes ne datent pas d'hier. Mais c'est tant mieux puisque certaines sont devenues de vrais coups de cœur !



Lundi. La beauté, même si je n'en parle pas trop ici (enfin, j'en parle >> << tout de même) est un sujet qui m'interpelle et je suis avide de savoir un peu plus et un peu mieux comment fonctionne ce milieu. C'est dans cet esprit que j'ai découvert The French Beauty Club, tenu par Victoire de Taillac et 5 autres acolytes. Sur ce blog, la beauté est envisagée comme un ensemble. Entre découvertes de nouveau produit, chroniques de vie ou astuces beauté...


Mardi.Julie Ansiau. Photographe de talent, maman de 3 enfants et Pinterest-euse compulsive. Ses photos valent vraiment le détour ! Foncez voir son site  !


Mercredi. Je découvre les visuels de la collaboration entre Veja et Ventilo. Ils me donnent presque envie de claquer 175€ dans une paire de pompes... autant dire qu'ils ont réussi leur coup !


Jeudi. La pochette léopard Atelier 13 me fait les yeux doux. 


Vendredi. J'adore découvrir les univers déco que sélectionne Clémence, blogueuse sur Turbulence Déco.

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Déco : des touches de bleu

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Un matin alors que mon bébé dormait encore, je me suis mise à ranger quelques objets. Et puis je me suis aperçue qu'une couleur revenait beaucoup. Le bleu. Tout comme mon placard. Ca m'a fait sourire et j'ai décidé qu'il fallait que je photographie tout ça ! 
Rassurez-moi, je ne suis pas la seule à être monomaniaque du bleu ! :P

Et merci à Marion pour le super mobile origami, Noémie pour mon savon Sézane, May pour les trop belles pochettes Petit Pan et Gabrielle pour les adorables petits chaussons !


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Marques : comment nous sommes passer du story telling au lifestyle

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 Si vous avez eu quelques cours de marketing, vous avez dû entendre parler de story-telling à toutes les sauces...
Pour la faire vite, le story-telling c'est quand les marques doivent se raconter et quand elles n'ont rien à dire sur elles-même, elles se mettent à créer du contenu autour de leur univers. 
Et petit à petit, les marques ont appris à regarder autour d'elles-même, à penser leur spécialité comme une partie d'une ensemble. C'est ainsi que nous avons glissé d'une segmentation à une vision plus globale.
Regardez, les boutiques qui marchent bien en ce moment, ce sont les concept-stores. On y trouve autant de mode, que de déco ou de musique voire même des articles pour la cuisine.
Un exemple de plus ? Jetez un œil à toutes ces marques qui se lancent dans un autre secteur que leur historique. Zara et Zara Home. H&M et H&M Home . Sans parler d'And Other Stories dont l'équipe expliquait clairement qu'ils ne voulait plus s'intéresser aux seuls vêtements mais aussi à la beauté. Et pour finir, le meilleur exemple me semble Sézane. Morgane Sézalory a commencé par les vêtements puis grâce à son journal, a su s'ouvrir à d'autres univers comme l'aménagement d'intérieur ou encore les bons plans food... Bref, sa bien-nommée collection "LIFESTYLE" coule finalement de source.

Mais tout ça au final semble être en accord avec notre nouvelle façon d'être. Nous ne sommes plus un seul bloc. Regardez dans les bios de profil Twitter ou Instragram : on se présente sous PLUSIEURS aspects, du style Truc le jour Machin la nuit. 
Les marques fonctionnent de la même manière, elles s'ouvrent pour accompagner encore plus leurs clients. Et c'est LE bon filon car les groupes sociaux n'ont jamais autant été repérables. De ce fait, une marque n'a plus qu'à bien étudier la typologie de ses clients pour en définir le style de vie. Et lui proposer ce qu'elle attend !

Du coup, ca me rend à la fois très enthousiaste parce que je trouve de plus en plus de choses qui me plaisent ... mais d'un autre côté je suis plus "dépendante" avec les marques en question et finis par tourner (un peu) en rond ! Pour vous, c'est comment ?

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Comment être TOMBOY en jupe ?

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Depuis que j'ai repris le travail, pas facile de trouver le temps de bloguer. Déjà parce que dès que je rentre à la maison, je cours dans la chambre de ma fille la couvrir de bisous et pour soulager son Papa qui a pris soin d'elle toute la journée et aussi parce que, passant la journée devant un écran, je préfère m'en éloigner un peu en rentrant chez moi. 
Mais je ne vous cache pas que ça me manque un peu ! Du coup, une fois n'est pas coutume, voici un petit look tout simple... et surtout bien printanier pris vite fait dimanche dernier alors que je me rendais à un déjeuner familial. Mon mari n'est pas un pro de la photo et moi, pas bien à l'aise devant un appareil, je vous demande donc la grande indulgence !
Chemise d'homme MONOPRIX -- jupe Comptoir des Cotonniers ( très vieille co) -- bottines H&M

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Recette de Pastéis de Nata toute simple

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Ma madeleine de Proust à moi est une Pastéis de Nata. Le souvenir de notre voyage à Lisbonne (à lire ici et et pour la partie sud du Portugal, c'est ) reste si vivace que régulièrement nous nous replongeons avec délice dans les spécialités portugaises.
Je cherchais depuis longtemps une recette simple, bonne et rapide de Pastéis de Nata. J'ai trouvé mon bonheur dans le dernier Zeste Magazine. Comme je suis intolérante au lactose, j'ai changé la crème fraîche pour la crème "Amande cuisine Bio" de chez Bjorg. Et bon, j'ai aussi réduit la quantité de sucre et de crème ! :) Mais ca reste bon, promis !

Recette testée et approuvée par mon mari, un ami et moi-même !

Pour une 12zaine de Pastéis de Nata
  
Les ingrédients 

4 jaunes d'oeuf 
90 g de sucre blanc 
20 g de farine 
20 cl de crème "Amande cuisine" ou crème fraîche 
Zeste d' 1 citron 
Pâte feuilletée en rouleau 

La recette 

1/ Dans une casserole, mélanger les 4 jaunes d'oeuf + les 90 g de sucre blanc + 15 g de farine + 20 cl de crème. 
2/ Faire chauffer la casserole à feu doux pendant 2 minutes puis remonter le feu pour porter la pâte-crème à ébullition. Dès que les petites bulles apparaissent, retirer du feu. Si la pâte-crème n'épaissit pas un peu, rajouter de la farine (pas plus de 5g). Mettre le four à préchauffer sur 220° 
3/ Ajouter le zeste et laisser tiédir. 
4/ Pendant ce temps, dérouler la pâte feilletée et y faire des ronds à l'aide d'un petit bol. 
5/ Découper vos ronds avec le papier sulfurisé et les installer dans des moules à muffins. 
6/ Verser la pâte-crème dans les petits moules à muffins ( où repose déjà la pâte feuilletée). Presqu'à ras-bord. 
7/ Enfourner les moules pendant 20 mn. S'ils ne sont pas assez dorés, les laisser quelques minutes dans le four encore chaud. 
8/ Attendre quelques minutes, démouler et surtout dégustez !

Un Joli Conte à gagner

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C'est bientôt la sortie d'Un Joli Conte # 3 ! Pfff, comment vous dire, c'est juste FOU que l'on arrive à continuer cette folle mais si belle aventure ! Quand j'ai envoyé mon petit mail à May (si vous voulez tout savoir sur la genèse de ce projet, c'est par )  je n'aurais jamais imaginé que l'on s'y tienne. A présent, on est rôdé, nos collaboratrices déchirent (mais ça, depuis le début de l'aventure) et on se laisse moins impressionner par la charge de travail.
C'est toujours avec la même émotion que l'on envoie notre mail de proposition de collaboration. Et les réponses positives nous enchantent !

Donc, comme je vous le disais, le troisième numéro sort bientôt. Pour vous remettre dans le bain, je vous propose de gagner un exemplaire d'Un Joli Conte # 2.

C'est tard pour vous le faire gagner ? Mais non, mais non ... C'est juste pour voir si vous suivez ! (oui, le rapport est étrange !)

Bref, qui le veut ? Qu'est-ce qui vous plait dans ce magazine ? Et qu'est-ce que vous souhaiteriez voir dans nos pages ?

A vos commentaire !

Tirage au sort lundi 7 avril

Styliste pour un shooting mode de blogueuse

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Un Joli Conte, c'est une aventure en terre inconnue à plusieurs niveaux. Tout d'abord, donner une direction éditoriale, c'était quelque chose que je faisais au quotidien dans mon travail mais pas pour un magazine. Faire le stylisme d'une série mode, là, par contre, c'était le grand saut.
On a beau avoir étudié la mode, aimer les fringues, lire les magazines; imaginer un éditorial mode, c'est pas évident !
Au départ, j'imaginais des choses incroyables, très léchées, très Vogue, ELLE, Madame Figaro quoi ! Je suis redescendue sur terre quand j'ai commencé à réellement faire mes shoppings. 
Une de mes meilleures amies est styliste et elle m'expliquait que c'était très difficile d'avoir accès à certains showrooms, alors imaginez ce que c'est quand on est un petit magazine "en ligne", fait "par des blogueuses" de surcroît ! En gros, c'est "débrouille-toi!"...
Et bien c'est ce que j'ai fait ! Pour le numéro 1, les vêtements sortent tout droit de nos penderies et de magasins de fast fashion et des portants de boutiques amies.
Pour le numéro 3, je me suis enhardie et j'ai osé frapper aux portes de marques et des boutiques lyonnaises que j'aimais bien. J'ai aussi retroussé mes manches pour faire un tutu home made qui tenait qu'à un fil ! (littéralement en plus, c'est pourquoi je ne vous fais pas l'affront de vous proposer une DIY !)

Mais au final, c'est pas plus mal. Notre magazine, on le voulait comme un moyen de ré-enchanter le quotidien. Il fallait donc que les séries mode soient en accord avec cette idée. C'est pourquoi nos tenues sont toutes très portables (bon, je ne vous conseille pas de sortir en tutu transparent dans la rue quand même ;) ) ... Et puis on voit déjà tellement de magazines avec des marques bien chères (et toujours les mêmes) que je m'étais mise au défi de ne pas mettre en avant des vêtements dépassant les 150-200€. Ce qui est un certain budget, on est d'accord. J'ai également choisi de mettre des articles Monoprix car c'est un magasin qui est relativement bien implanté en France et qui propose de belles collections (mon talon d'Achille, c'est leur collection Bout'chou).

Je ne vous cache pas que pour le prochain numéro, j'ai une vraie envie de mettre en avant de petits créateurs. Si vous êtes une jeune marque et que vous aimez l'univers d'Un Joli Conte et que vous acceptez de nous prêter des pièces (on les rend en bon état, sans une égratignure promis), n'hésitez pas à m'envoyer un mail sur cliclachop@gmail.com ! Le web et les mags, c'est à ça que ça sert, non ?

Quant à vous mes chères lectrices, dites-moi quelles sont les jolies petites marques que vous aimez, j'adore découvrir de nouveaux créateurs !


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Interview de pro : Géraldine Dormoy

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C'est enfin le retour du printemps des interviews ! Et pas des moindres puisque c'est Géraldine Dormoy qui se prête au jeu. Et comment vous dire... je suis trop fière ! :) Au fur et à mesure que j'écrivais les questions, je me suis aperçue que Géraldine est l'une des blogueuses que je suis depuis que j'ai découvert la blogosphère... Autant dire, il y a longtemps ! A cette époque, j'étais étudiante en littérature française et son blog était une bulle d'oxygène (et de rêve aussi). La mode était un domaine qui m'attirait mais je ne savais même pas qu'il existait des cursus scolaires axés "business". Son blog m'a permis de réaliser que ça n'était pas futile d'aimer la mode et ça m'a donné l'aplomb pour tenter ma chance dans cette voie. Je profite donc de cet article pour te dire un grand merci Géraldine !

Bonjour Géraldine, est-ce que tu peux te présenter ? 
Je m'appelle Géraldine Dormoy, j'ai presque 38 ans. Je suis mariée, j'ai un petit garçon de deux ans et demi. Je suis la responsable éditoriale Web de L'Express Styles. J'ai aussi un blog, Café Mode, que je tiens depuis huit ans.
Tu es une ancienne élève de l’IFM ; que retiens-tu de tes études dans cette école ?
J'ai adoré mon année à l'IFM. J'ai tout aimé là-bas: les élèves (plusieurs sont devenues des amies proches), les profs, les intervenants, l'atmosphère. Ca tenait sûrement au fait que c'est une école que je voulais faire depuis longtemps, sur laquelle j'avais beaucoup fantasmé, et qui ne m'a pas déçue. Elle a été fondamentale pour ma culture mode, mais plus généralement pour mon assurance: jusque là, j'étais passionnée de fringues, mais je ne me sentais pas très légitime à en parler. L'IFM a simplifié les choses, tant cette école fait autorité dans le milieu. Il y règne une ambiance particulière, qui tient à la disparité des élèves. On vient d'horizons divers, mais on a tous la mode en commun. Moi qui viens d'un monde très éloigné de ce secteur, je n'avais jamais connu ça avant. En même temps, le rythme est très soutenu, un peu comme une prépa, mais bien meilleur pour le moral !
Si je ne me trompe pas, c’est  lorsque tu étais étudiante en Master Marketing de la Mode que tu as décidé de lancer ton blog. Y a-t-il une différence entre la blogosphère que tu as intégrée et celle dans laquelle nous gravitons aujourd’hui ? 
J'ai créé mon blog quelques semaines avant d'intégrer l'IFM. A l'époque, en 2005, les choses étaient radicalement différentes. Le terme même de blog n'était pas encore très répandu auprès du grand public. Il n'y avait pas de blogosphère féminine, juste quelques journaux en ligne sans prétention. Deedee a été la première à émerger dans ce petit milieu. Le rapport au marques n'avait rien à voir: elles nous ignoraient complètement. Et puis on a commencé à être lues, la presse a parlé de nous (il était alors bien plus facile de se faire un nom) et progressivement tout s'est emballé. Quand je suis sortie de l'IFM, alors que mes camarades de promo cherchaient des postes d'acheteur et de chef de produit, je me suis lancée à corps perdu dans la rédaction de mon blog. Je n'avais pas la moindre idée de où tout ça allait me mener vu qu'à l'époque, aucune blogueuse ne vivait encore de ça, mais je sentais qu'il se passait quelque chose d'important.
Pour toi, est-il indispensable d’avoir une formation en mode pour travailler dans ce milieu ?
Il est toujours préférable de savoir de quoi on parle, quel que soit le milieu dans lequel on a envie de bosser. Donc une formation en mode, pourquoi pas, mais pas n'importe laquelle non plus. Dans les secteurs à paillettes, les écoles attrape-nigaud sont courantes. Elles coûtent cher, mais ne mènent pas forcément à ce qu'elles promettent.
Crédit photo : Géraldine Dormoy
Je me souviens des débuts de ton blog et notamment de tes photos de streetstyle (j’ai encore en tête l’histoire que tu avais raconté à propos de ta quête de manteau chaud pour ne pas geler lorsque tu prenais des photos !). Pourquoi tu n’en fais plus ? 
Parce que l'évolution du secteur ne me le permet plus. J'ai commencé au tout début du phénomène streetstyle. Les premières années, on était très peu de photographes à la sortie des shows. Les invitées prenaient le temps de s'arrêter car elles étaient flattées. J'ai appris la photographie au Jardin des Tuileries! Et puis le streetstyle a eu tellement de succès qu'il a aiguisé les appétits. Des centaines de photographes ont débarqué, dont beaucoup de très bons et de très pugnaces. J'ai plusieurs fois manqué de me faire renverser par une voiture à la sortie d'un défilé, on se fait vraiment beaucoup bousculer. Moi qui avais toujours fait ça en plus de l'écriture, j'ai senti qu'il était temps de choisir. Je l'ai fait la mort dans l'âme. Heureusement, je me réserve encore quelques respirations streetstyle. Par exemple, cette année, je vais au Festival de Hyères, et je compte bien en rapporter quelques clichés.
Grâce à ton blog, tu as acquis une certaine reconnaissance. Comment le vis-tu ? 
J'ai souvent constaté que les blogueuses étaient des filles qui avaient tendance à manquer d'assurance, et que leur blog les avaient aidées à en trouver. Ce fut mon cas au début. Les lectrices sont d'un énorme soutien, elles vous portent. En tout cas moi, elles m'ont beaucoup portée, et elles continuent à le faire. Après, il y a la reconnaissance professionnelle, des gens du milieu. C'est très appréciable. C'est ce qui m'a permis d'entrer à la rédaction Web de L'Express, ce qui n'est pas rien quand on n'a ni formation ni expérience de journaliste. Mais ça reste éphémère. Des blogs mode, il s'en ouvre tous les jours. Autant dire que si vous ne vous bougez pas les fesses, on aura tôt fait de vous oublier. Heureusement, j'aime l'émulation.
Es-tu d’accord avec Isabelle Chazot, lorsqu’elle dit « La blogueuse a une démarche autocentrée.C’est une lectrice devenue prescriptrice. Rien à voir avec un journal qui puise sa sève dans le travail collectif, la découverte de talents,une relation intimiste avec son lecteur… »
Isabelle Chazot a dit beaucoup de choses très vraies, mais elle je ne la suis pas dans cette réflexion-là. Pour la simple raison qu'aujourd'hui, il y a trop de blogueuses pour que l'on continue à les mettre toutes dans le même sac. Les blogs, c'est comme la presse, un grand groupe disparate avec à l'intérieur plein d'entités qui n'ont parfois rien à voir les unes avec les autres. Qui oserait comparer Le Monde à Nous deux? Au delà de ça, certaines blogueuses me semblent bien plus sensibles aux nouveaux talents que certaines journalistes.
Je crois me souvenir que tu conseillais à des élèves journalistes d’avoir une présence sur les réseaux sociaux dès l’école. Ne penses-tu pas qu’il risque d’y avoir des dérives de la part des employeurs en recrutant des personnes ayant déjà de l’influence plutôt qu’un réel talent ? 
Si on a de l'influence, c'est qu'on a du talent. Il faut savoir faire confiance aux internautes. S'ils plébiscitent quelqu'un, c'est que cette personne a quelque chose que les autres n'ont pas. Après, je ne dis pas que c'est un talent forcément journalistique, mais qui s'en soucie? Moi, je préfère raisonner en termes de personal branding. Aujourd'hui, il y a tant de journalistes que les nouveaux venus ont intérêt à savoir se distinguer très tôt. Et ça ne sera pas forcément en écrivant des articles de presse.
Avant d’être responsable éditoriale web pour L’Express Styles, tu étais au service marketing de l’Express.  As-tu gardé certaines habitudes que tu appliques à la rédaction ? 
Ma formation en école de commerce me permet d'avoir une approche business d'un site Web. Je vois l'aspect édito, c'est ce qui passe avant tout le reste pour moi, mais je ne me limite pas à ça. Je suis sensible au travail des autres services, audience et pub notamment.
On finit bientôt le 1er trimestre 2014… c’est un peu tard pour te souhaiter une belle année alors, tu peux nous parler de tes projets pour la suite ?
Je suis plutôt du genre monomaniaque. Depuis que j'ai été nommée responsable éditoriale, ma mission est de développer Lexpress.fr Styles. Le site cartonne et ça me procure beaucoup de satisfaction, mais j'ai l'impression d'avoir encore pas mal de choses à apprendre là où je suis. Donc en 2014, Styles reste ma priorité! Sur le blog, j'ai envie de lancer un nouveau rendez-vous, tu en sauras plus bientôt. Et puis il y a notre collectif qui prend forme: Les particules complémentaires. Neuf blogueuses pros de la mode et de la beauté, qui se réunissent régulièrement pour échanger et partager un bon moment. L'énergie de nos rendez-vous m'impressionne. A leurs côtés, je ressens la même excitation qu'au début de mon blog. Affaire à suivre!

Et je profite aussi de l'occasion pour souhaiter un bel anniversaire à Géraldine !


Interview de pro : Mademoiselle MU, maquilleurs

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On continue notre tour dans les coulisses de la mode. Cette fois-ci, je vous présente Mademoiselle MU, un duo ultra doué des pinceaux, dont vous avez certainement aperçu un bout de travail sur les blog de The Cherry Blossom Girl et de Miss Pandora. Ils nous font part de leur vision du métier de maquilleur.

Est-ce que vous pouvez vous présenter ?
Camille : Je m'appelle Camille, je suis originaire de Marseille mais je vis à Paris depuis 2006. Je suis maquilleuse professionnelle et je travaille principalement sur des shootings photo ou des tournages.
Sess : Je m'appelle Sess, je suis originaire de Versailles mais j'ai vécu 19 ans à Bamako au Mali. Pour ma part j'ai deux métiers, maquilleur comme Camille et illustrateur.
Nous avons eu ensemble une petite fille il y a presque 4 ans et c'est à peu près à ce moment là que nous nous sommes associé pour créer et travailler sous le même nom: Mademoiselle Mu.

Vous aviez fait des études "classiques", quel a été l'élément déclencheur de ce virage professionnel ?
Camille: J'ai toujours été attirée par de nombreux métiers et hésité. Dès le lycée puisque j'ai commencé par une filiaire scientifique avant de bifurquer en littéraire un an plus tard. Quand je me suis inscrite à la fac, mon idée principale était de devenir journaliste ou reporter. Mais je n'ai tenté aucun concours (sûrement par sentiment de ne pas être à la hauteur). J'ai commencé à m'ennuyer et à me sentir coincée l'année de mon master. Du coup, avant de devenir folle, j'ai préféré tout arrêter. Pendant un an, j'ai pris des cours de dessin, peinture et couture. Je voulais faire quelque chose de varié et créatif dans une nouvelle ville. Après maintes hésitations, j'ai fait mon choix pour une école de maquillage à Paris.
Sess: Je dessine depuis que je sais tenir un crayon. Comme je vivais au Mali, je n'avais pas vraiment le choix sur les différentes filiaires et je me suis contenté d'un bac éco. En rentrant en France, j'ai passé un an en prépa à l'atelier de Sèvres et mis à part les cours d'anatomie et d'illustration, le reste ne me convenait pas. J'ai donc décidé de me lancer seul dans l'illustration mais ne voulant lacher les études pour autant, j'ai intégré une école de maquillage.

Votre duo (fille-garçon) n'est pas courant : quelles sont les grandes forces que vous en tirez et est-ce que cela représente un frein parfois ?
Être en duo et en couple nous permet d'être plus fort. On peut s'épauler, discuter; on se comprend. On rencontre également plus de personnes, on a un carnet d'adresse commun. Et si l'un des deux est malade, l'autre est là pour remplacer. C'est pratique !
Je ne sais pas si cela peut être un frein puisqu'on travaille aussi bien seul qu'ensemble. Certaines personnes ne savent même pas que nous sommes deux et nous connaissent juste en tant que Sess ou Camille.

Comment vous répartissez-vous le travail ?
Camille : Grossièrement disons que pour tout ce qui concerne les mails c'est moi qui gère, et la partie facture/compta c'est plutôt Sess. Après, pour les boulots, on essaie d'être à peu près équitable, on alterne. S'il y en a un qui "se sent" plus ou qui est moins fatigué, c'est lui qui prend. En fait, tout cela se fait naturellement sans qu'on y réfléchisse trop.

Quelle est la journée-type pour vous ?
Alors là, c'est simple AUCUNE journée type. On est vraiment au jour le jour!!


Vous travaillez sur pas mal d'éditoriaux web, en quoi est-ce différent d'un éditorial print par exemple ?
Internet a permis la création de beaucoup de webzines. C'est moins couteux car il n'y a pas d'impression et en plus c'est écolo (et gratuit!). C'est toujours chouette et prestigieux de voir les photos pour lesquelles on a travaillé sur papier mais le web permet de mieux diffuser notre travail et d’être assez libre et varié.
Trouvez-vous que votre métier, tel qu'il est réellement, est mal connu du public ?
Camille : Je ne sais pas. Je pense qu'on ne se rend pas compte à quel point c'est dur parfois. Nous sommes très nombreux à faire ce métier, il faut arriver à se construire un réseau, un book, se remettre perpétuellement en question, être toujours créatif, présent et disponible... De l'extérieur on voit surtout les strass et les paillettes mais c'est un milieu assez difficile.

Considérez-vous que vous faites partie du monde de la beauté ou du monde de la mode ?
Camille : Je dirai plus dans la mode car travailler en "beauté" est vraiment particulier. Il faut beaucoup de rigueur, minutie et patience, chose que l'on n'a pas tout le temps surtout pour les détails, mais le monde de la beauté est un univers à explorer!

D'ailleurs, quel est votre rapport à la mode ? Êtes-vous sensibles aux tendances ?
Camille: Je pense qu'on s'intéresse plus ou moins à la mode par notre métier mais sans non plus être "à fond". On suit de loin ce qu'il se passe, on essaie de se tenir au courant. On est abonné à rien en particulier. Mais sans acheter de magazine, c'est vrai que rien qu'avec notre entourage, notre fil d'actualité facebook ou instagram, nous sommes toujours nourris de photos de défilés, de shoots... On aime malgré tout garder du recul et du détachement sur tout ça. Après en fonction du boulot ou de la demande, on approfondit nos connaissances en farfouillant dans tous les sens (merci internet).

Et enfin, quels sont vos projets pour 2014 ?
C'est vrai que cette année à commencer plutôt calmement. Quelques projets en prépa, notamment avec Pauline Darley et Clémentine Lévy et sans oublier la série Halloween avec Louise et Alix qu'on attend toujours avec impatience ! Après qui sait ce que notre agenda nous réserve...!

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Le VDC| B, nouvelle boutique de jeunes créateurs à Lyon

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Lundi dernier, je me suis rendue à l'inauguration de la boutique du VDC, tenue par Céline. Les photos que j'avais vues sur le web avaient attiré mon attention et son invitation m'a poussée à prendre le temps d'y faire un tour. Qu'est-ce que j'ai bien fait ! La boutique est très chouette, et Hélène, du bar à ongle l'Atelier des Rougesétait là !
Je gardais une image très ringarde de la boutique qui, pourtant, était tenue par mes camarades de l'Université de la Mode. Je me souviens d'avoir eu mon plus gros fou-rire (contenu je ne sais comment) à la vue de la tête d'une de mes profs lorsqu'elle a réalisé que le sac en fourrure synthétique rose pétard dont elle venait de se moquer gentiment était l’œuvre d'une de ses élèves présentes !


La boutique du Village des Créateurs nécessitait une belle mutation. C'est vraiment ce qu'elle a fait.
L'offre est recherchée et large puisqu'on retrouve aussi bien de la mode que de la déco, mais aussi de l'enfant. Les talents sont mis en avant grâce à un merchandising efficace et bien sûr, Céline, qui gère le VDC|B, très accueillante ! La scénographie de Emmanuel Chevalier apporte ce supplément de "branchitude" qui faisait souvent défaut au VDC. 

Voilà donc une boutique de jeunes créateurs pile dans l'air du temps !

Si vous êtes de passage à Lyon, je vous conseille vivement de vous y rendre!
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A proximité du Village des Créateurs (Passage Thiaffait), au 19 rue René-Leynaud 69001 LYON.
Métro : Hôtel de Ville / Croix-Paquet

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Envies mode printanières

Mes découvertes de la semaine #3

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1- J'ai découvert, grâce à Isabelle, le nouveau blog de Marion Leflour, le Journal Flou. Énorme coup de cœur pour ses photos à la fois délicates et dynamiques. Ça a été une vraie frustration d'avoir vu ce blog en pleine journée de travail. Mais au final attendre le soir pour faire le tour des archives a été jubilatoire.


2. Est-ce que j'ai besoin de m'expliquer tant ces beautés se passent de mot ? Si ? Bon, en plus l'histoire de cette marque est suffisamment originale pour être racontée. Deux musiciens, passionnés de design ( et de mode visiblement) se sont lancés dans la création de chaussure ! Plutôt doués, non ? Garçonne et Chérubin, c'est un peu mon coup de cœur du moment (en plus des VEJA que je ne trouve plus à ma taille :'(  ) 


3. Loveless, normalement c'est le genre de nom que j'aime pas, pour une raison totalement incompréhensible et encore moins justifiée. Heureusement que je suis passée outre cette aversion car j'ai découvert une très chouette marque de bijoux qui plaira tant aux filles au cœur de rock, que de fleurs. Évidemment, ce bijou d'oreille me fait fondre.


4. Grosse grosse mais GROSSE affection pour ces petits trésors crochetés. Souvent dans ma tête, je me lance dans diverses activités manuelles : crochet et tissage en tête ( oui, c'est moi le mouton de la blogsphère ! ) mais je n'ai jamais réussi à sauter le pas (mes petits fanions tricotés à moitié en sont l'exemple le plus flagrant !). Alors, quand je vois que je peux posséder un truc homemade sans trop me piquer les doigts, forcément, ça me fait envie ! Le shop >> [Z*] by Zimbo !

Idée de tenue pour mariage

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La saison des mariages est officiellement ouverte semble-t-il. Certaines d'entre vous sont les joyeuses mariées (coucou Charlotte, coucou Gabrielle) et d'autres, comme Noémie et moi, sommes les invitées. Et forcément, une tenue de mariage ça se prépare avec soin. On veut être nous en mieux, en plus belle, en plus cool, en plus "effortless chic" (j'ai l'impression de parler comme une journaliste de Grazia, là!)... bref, vous avez compris ce que je veux dire, on veut se sublimer quoi !

Voici des idées pour Noémie, qui est invitée à 5 mariages esprit fêtes de village / ginguette :


Pour ces 2 tenues, je m'étais fixée plusieurs objectifs. Tout d'abord que Noémie ne se sente pas déguisée, qu'elle soit à l'aise dans ses vêtements et qu'elle puisse marcher sans piquer ses talons dans l'herbe. Et après, j'ai cherché des vêtements Made in France au mieux (les sandales MAURICE MANUFACTURE, les bijoux BAZAR EXQUIS, MULOT B et l'ATELIER 13) ou bien de créateurs français (comme HEINUI, ANTHOLOGY ou BA&SH)

Proposition 1 : robe Tallulah HEINUI (existe manche longue aussi)// manchette l'Atelier 13 // sandales Valentine ANTHOLOGY
 

Pour info, je n'ai volontairement pas mis de vêtements issus de la marque Sézane... Noémie étant fan, elle n'a pas besoin de moi pour découvrir ! :)

Mange-moi du regard #2

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Fin janvier 2013, j'avais posté un article qui associait un plat et une tenue. Je me souviens que ça vous avait aussi plu qu'à moi. Je voulais en faire un à ma sauce,puisque la première fois, j'avais pris les visuels sur l'excellent blog Miss Moss. Le temps a passé et je n'ai fait qu'accumuler des images. Ce soir, j'ai ré-ouvert mon dossier (en regardant Qui sera le prochain grand Pâtissier) et les connexions se sont faites.

Dites-moi ce que vous en pensez !

Allessandra Colombo sur The Sartorialist                                             Gâteau au chocolat blanc sur Pastry Affair

Susie Lau du blog Style Bubble                                          cookies au citron sur White on the rice couple

     COS (ancienne co)                                                                cupcakes sur Kitchen Confidante 
Elisa Nalin sur All the Pretty Birds                                                 compote de fraise au citron sur eastewart.com    

                      photo trouvée sur Miss Moss                                        glace à la myrtille et à la lavande sur Fragant vanilla Cake

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Look : en bleu

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Si un jour je suis habillée autrement qu'en bleu, qu'en rayure ou petits pois, c'est qu'il y a un problème ! Ce jour-ci tout allait très bien : je sortais de chez le coiffeur, il faisait beau et mon bébé était de bonne humeur. Pour couronner le tout, j'étais vêtue de mon "combo" favori.

{1} chemise GAP {2} pantalon ancienne co H&M // {3} chaussons d'indienne : MONOPRIX ! :)

Je vous souhaite un excellent jeudi de l'Ascension à tous !

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